Sunday, May 24, 2009

Abortion Linked to Higher Rates of Domestic Violence

New Research
A recent report, published in the journal Public Health on Mar. 24. 2009, reveals that abortion leads to domestic violence and other difficulties.
The study, headed by Prof. Priscilla Coleman of Bowling Green State University, was based on a survey of low-income women undertaken at various hospitals around the country. The women involved had all become pregnant within 18 months of delivering a child and either aborted the second pregnancy or carried to term. Participants were asked about drug and alcohol abuse, their relationship with the child's father and difficulties raising their first child.

The study found that women who felt they could not rely on their partner to help in caring for the child were more likely to have an abortion. They also found that women who had undergone an abortion were over three times more likely to report heavy alcohol use and twice as likely to report cigarette smoking.
When a woman gets an abortion, the couple is more than twice as likely to argue when discussing future children, and nearly three times as likely to experience domestic violence, compared with women who carry the pregnancy to term and raise the child.
The study said that abortion within a current relationship causes 116 percent more arguing when discussing future children, and 196 percent more domestic violence.
Men whose current partners had an abortion were more likely to report jealousy (96% greater risk) and conflict about drugs (385 percent greater risk).

Thursday, May 14, 2009

L’embryon n’est pas qu’un amas de cellules ?

Afin de rendre l'avortement acceptable, les pro-avortements tentent de faire croire qu'un embryon n'est qu'un "amas de cellules informe". Car il est en effet bien gênant de procéder à l'avortement d'un être humain miniature.
Cependant les fœtus en âge d'être avortés, s'ils ne sont pas viables (c'est-à-dire s'ils ne peuvent pas vivre hors de l'utérus de leur mère), sont loin d'être un amas de cellules.
Un fœtus de moins de 3 mois a deux petits pieds complètement formés.
Un enfant miniature à qui plus rien ne sera ajouté existe déjà dans le corps de sa maman. Il attend seulement de pouvoir se développer.
En définitive peut-être pourrions-nous dire que nous-mêmes sommes des "amas de cellules". Nous n'en sommes pas moins humain.

Saturday, May 2, 2009

Le droit de la femme à disposer de son corps?

"Le droit de la femme à disposer de son corps". Cette expression est couramment utilisée afin de justifier l'avortement. Et pourtant a-t-on le droit de se blesser, de se suicider ou de hâter sa propre mort par l’euthanasie ?
Car enfin, une telle expression peut légitimer notamment le suicide, l’euthanasie, ou même l’avortement quel que soit l’avancement de la grossesse, même la veille de l'accouchement.
On sait qu’un embryon est « viable », c’est à dire a la capacité de vivre, après 24 semaines de grossesse, soit autour du 6e mois,. La femme aurait-elle le "droit" d'avorter alors que son bébé peut très bien vivre? Si oui, en l'expulsant ainsi, elle lui impose les séquelles physiologiques des prématurés.
Sinon, la femme peut-elle "disposer de son corps" avant que son bébé soit viable ?
L’argument le plus fort est scientifique.
1. La science a démontré que le foetus est bien différencié du corps de la mère : non seulement il possède une ADN unique au monde
2. L'embryon, dès le sixième jour, secrète cette enzyme spéciale, pour se protéger et résister aux attaques immunitaires de sa mère. En effet le système immunitaire humain détecte tout tissu étranger dans le corps et il organise immédiatement une défense contre lui (principalement par ce que l'on appelle le lymphocyte T "Killer" (tueur)). C'est ce système de défense immunitaire qui est à l'origine des rejets de greffes. Or, découverte en 1998, l'indoléamine 2.3¬dioxygénase est une enzyme qui a la particularité de pouvoir lutter le système immunitaire. qui empêche l'attaque de ces lymphocytes T "Killer". Si cette défense de l'embryon est défaillante, une fausse couche survient alors.
3. Le bébé ne fait pas partie du corps de la mère. Il se développe en symbiose avec lui.