Tuesday, April 28, 2009

Les cultures de mort en Europe aujourd’hui

Dans l’Union Européenne, il y a un avortement toutes les 27 secondes, 133 à chaque heure ; l’avortement est la première cause de mortalité en Europe.
• Dans l’Union Européenne, un mariage se rompt toutes les 30 secondes. Entre 1980 et 2006, le nombre de mariages a diminué de plus de 737000, une perte de 23,9 %.
• Dans l’Union Européenne, sur 5 209 942 naissances, 1 766 733 se sont produites en dehors du mariage, soit 33 % et la France occupe la première place avec 419 192 naissances hors mariage, soit 50,5 %.

• Les foyers européens sont de plus en plus solitaires : dans l’Union Européenne, un foyer sur 4 compte seulement une personne.
En Angleterre
• Le Parlement britannique vient d’autoriser les chercheurs à réaliser des embryons hybrides humains-animaux ; ils pourront ainsi transférer des cellules humaines dans des ovocytes animaux desquels a été retiré leur ADN de façon à disposer de cellules souches pour la recherche, cellules qu’ils seront cependant tenus de détruire avant le 15ème jour de vie. L’union homme-animal, même si elle n’est pas sexuelle, représente une horreur qui a toujours été le plus fermement condamnée. Rompre cette barrière ouvre la porte à des monstruosités qui peuvent se révéler lourdes de conséquences pour l’humanité tout entière.
• Toujours en Grande-Bretagne, la loi autorise les femmes à recourir aux techniques de la procréation artificielle sans qu’un père soit nécessaire (méthode réclamée par les couples de lesbiennes).
• Toujours en Grande-Bretagne, dans les écoles, il n’est dorénavant plus possible de faire référence au père et à la mère, mais au géniteur A et au géniteur B. Le temps est fini où les premiers mots prononcés par un enfant étaient « Papa » et « Maman », désormais au nom de la loi, ce sera « A » et « B ».
• La question de la mère porteuse occupe actuellement la scène française. Interdite en 2004 et unanimement condamnée, aujourd’hui les instances médicales, juridiques et politiques ne s’interrogent plus sur la légitimité du recours aux mères porteuses, mais réfléchissent déjà à la manière de l’encadrer. Or, de telles pratiques remettent en cause un des principes les plus fondamentaux et les plus anciens du droit : « La mère est celle qui accouche de l’enfant. »
Quand on sait tous les liens qui se tissent entre la mère et l’enfant qu’elle porte dans son sein, quelles seront les conséquences de telles pratiques sur l’enfant ?
Quels seront ses liens de parenté avec tous ceux et celles qui auront participé à sa naissance ?
Quant à l’enfant n’est-il pas également réduit à être un bien de consommation ?
A. C.

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